H. 25.4 cm ; D. 29.5 cm ; VOLUM. 0,0174

 
GRD_2009.0.385

 
Ce seau est constitué d’une feuille de chêne enroulée et maintenue par des rivets -attestés par la présence de trous- et d’un fond, lui aussi en chêne. La technique d’assemblage du fond, renforcé par une croix n’est pas connue. Il pouvait s’agir soit d’un rivetage soit d’un cerclage en matériau organique aujourd’hui disparu. Ce type de seau, très léger et sans anse, pourrait correspondre à un boisseau, récipient de forme cylindrique destiné à mesurer les matières sèches (grains et farines). Ces récipients étaient de capacité variable suivant les époques et très peu d’exemplaires ont été conservés de l’Antiquité.

 
Ce seau est constitué d’une lamelle de bois de chêne enroulée et maintenue par rivetage – attesté par la présence de trous de rivets – et d’un fond, lui aussi en chêne. La technique d’assemblage du fond, renforcé par une croix constituée de deux éléments rivetés et de la panse, n’est pas connue. Il pouvait s’agir soit d’un rivetage soit d’un cerclage en matériau organique aujourd’hui disparu. Ce type de seau, très léger et sans anse, pourrait correspondre à un boisseau, récipient de forme cylindrique destiné à mesurer les matières sèches (grains et farines), de capacité variable suivant les lieux et les époques. (Sur les traces d’Apollon. Grand la Gallo-Romaine : DECHEZLEPRÊTRE Thierry – sous la coordination-, UZEL Valérie, 2010)