Auteur de l'image : 
Autre(s) Numero(s) : 
G.2008.0.048 (ancien numéro Pays des Leuques) ; n° 587 (MOITRIEUX Gérard, 2010)

Code Postal : 
88350

Commune : 
Créé par : 
Date de création : 
10 septembre 2021 09:31 Europe centrale/Paris (ECT) +01:00
Date de dernière modification : 
30 mars 2023 16:44 Europe centrale/Paris (ECT) +01:00
Date de découverte : 
1965

Description en langage naturel : 
La tête est conservée depuis le haut du cou jusqu’au sommet du crâne. [...] Le visage rond, avec des joues rebondies formant même des bajoues, est levé. Le front haut est arrondi et les arcades sourcilières sont peu marquées sauf à leurs extrémités extérieures où elles sont tombantes. Les yeux ronds et soulignés de la paupière inférieure regardent vers le haut. L’angle interne est très creusé. Le nez, petit, a les narines indiquées par un trou au trépan. Il est encadré des sillons naso-labiaux. La bouche souriante a deux fossettes fortement soulignées. Le menton est rond, légèrement en galoche et le cou est épais. La limite de la chevelure est indiquée sur le haut du front par un sillon. Elle est composée de longues mèches allongées, séparées par de profonds sillons. Elle est dressée sur le sommet de la tête formant une houppe et sur les côtés elle cache les oreilles. Il s’agit sans doute d’une tête de Faune ou d’un putto. (Toul et la cité des Leuques. Recueil général des sculptures sur pierre de la Gaule : MOITRIEUX Gérard, 2010)

Diffusion : 
Dimensions : 
H. 5,5 cm ; l. 6,5 cm ; E. 7 cm ; VOLUM. 0,0003

Domaine : 
Dénomination : 
Département : 
Epoque - Style : 
Etat de conservation : 
Date du constat : 26/12/2018 / Motif du constat : Informatisation de l’inventaire des collections / Etat général : État moyen / Intégrité : Éclats ; arrachements ; fragmentaire / Le calcaire est piqueté / Notes : soclé /

Identifiant : 
40
Identifiant fiche : 
M0536_1038

Localisation : 
Millésime de l'oeuvre : 
75 de ; 125 à

Modificateur : 
Méthode de collecte de l'objet : 
Nom de la personne ayant modifié la notice : 
Nom du collecteur - découvreur de l'objet : 
BILLORET Roger ; SALIN Edouard

Noms géographiques anciens : 
Numéro INSEE : 
880212

Numéro d'inventaire : 
GRD_2008.0.48

Observations-Commentaires : 
Vu par Gaëlle. Texte vert dans Cartel développé qui sera mis en ligne.

Période (siècle ou millénaire) : 
Représentation - Iconographie : 
représentation mythologique (putto)

Rubrique perso 1 : 
notice à valider

Rubrique perso 2 : 
à marquer

Rubrique perso 4 : 
Cette tête se caractérise par une bouche souriante avec deux fossettes bien marquées et une chevelure composée de longues mèches allongées cachant les oreilles.

Rubrique perso 6 : 
Auteur : ?
Cartel :
FRISE BACHIQUE / BACCHANALIAN FRIEZE / BACCHANALIAN FRIES

Cette vitrine est dédiée à Bacchus, fils de Jupiter et de Sémélé, une mortelle. Il naît de la cuisse de son père après que sa mère est morte foudroyée accidentellement par Jupiter. Il est élevé par Silène qui est souvent représenté avec Bacchus enfant.
Il est communément considéré comme le dieu du vin et de la fête, mais à l’origine, il est le dieu de la fertilité.

Le cortège de Bacchus est une représentation assez courante du dieu où il figure sur un char tiré par des léopards, des tigres ou des boucs. Il est entouré de bacchantes, appelées aussi ménades, qui dansent et font de la musique autour de son char. Des satyres et des faunes, personnages mythologiques mi-homme, mi-bouc sont aussi associés au culte de Bacchus, jouant de la musique, ou dansant avec les ménades. Ces personnages sont souvent représentés ivres. Silène apparaît aussi dans le cortège de Bacchus et, au fil du temps, il est représenté ivre sur un âne.
Les putti font partie intégrante de ce cortège et figurent sur différents registres de la frise. Les nombreuses représentations (têtes de putti) dans cette vitrine en attestent (niveaux 2 et 3).

Bacchus avec son cortège de ménades, de satyres, de faunes et de félins, équilibre, par son côté débridé, l’aspect civilisateur d’Apollon.

La plupart des éléments présents dans cette vitrine ont été retrouvés lors des fouilles du « Jardin Huguet », terrain jouxtant le bâtiment de la mosaïque.

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Technique et matériaux : 
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